Un doux parfum…

PROPAGEONS L’ÉVANGILE DE L’ESPÉRANCE!
Inauguration tout en douceur de la nouvelle année pastorale…

Accompagné de ses acolytes des Services diocésains, l’évêque vient de terminer la série de quatre rencontres pour l’inauguration de la nouvelle année pastorale. Cette virée épiscopale nous aura amenés du lac Champlain au fleuve Saint-Laurent en passant par la rivière Chibouet, la rivière Yamaska et sa source, le lac Brome… Partout, le courant a passé, la chimie a opéré. L’accueil et la participation sont dignes de mention.

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Vécues dans la vérité, la simplicité et la douceur, ces quatre rencontres régionales ont permis d’alimenter des petits brasiers d’espérance dans les cœurs. Impeccablement orchestrées, elles avaient pour colonne vertébrale la lettre pastorale brulante d’actualité «En temps de crise, osons l’espérance!».

C’est par deux tout petits mots de quatre lettres chacun que Mgr Rodembourg a inauguré la nouvelle année pastorale : paix et joie. Sans elles, nulle espérance n’est possible. La crise inédite que nous traversons ne fait pas que tester notre espérance, elle la décape! Elle nous remet en question et nous oblige à nous repositionner. Elle nous incite à ancrer notre espérance encore plus solidement dans la tendresse de Dieu, l’amour fraternel, la Parole de Dieu et les sacrements. Voyons-y une occasion de croissance et de renouveau.

Nous le savons, faire les choses comme avant n’est ni viable ni même souhaitable. Si on en croit Mgr Rodembourg, l’année pastorale 2020-2021 ne passera toutefois pas à l’histoire comme celle de « la mise en œuvre de grandes réformes mirobolantes ». Nous mettrons plutôt nos énergies à « vivre l’Évangile et la rencontre du Christ au quotidien »!  Avec lucidité et créativité, dans un esprit d’entraide et de solidarité, « nous poserons des pierres pour paver le chemin de l’espérance ». Ces pierres ont pour noms compassion, tendresse, amour, joie, confiance, solidarité. Mises ensemble, elles feront un « fond solide et durable » pour avancer sans crainte. « Rêver notre Église » peut s’avérer très productif et créateur.

Hyacinthus : fleur au «parfum doux époustouflant»

Le cœur brulant, les participantes et participants sont repartis avec des bulbes de tulipe et d’Hyacinthus, une fleur au nom prédestiné, une fleur au « parfum doux époustouflant » peut-on lire sur l’emballage! Dès cet automne, on va semer des bulbes d’espérance un peu partout dans le diocèse. Vivement le printemps! Ça va sentir bon!

Luc Benoit
Communications

EN PRIME! LE CURÉ DE BROMONT, L’ABBÉ RÉAL LANOIE,
NOUS EN FAIT VOIR DE TOUTES LES COULEURS!

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